Une petite dernière, pour la route qui va être bien longue... jusqu'à Gibraltar, puisque nous devons nous y rendre !
http://tin-7.soforums.com/t717-Strips-L ... tarque.htm?
On y voit les derniers publiés dans Le Soir
Là encore je ris... Divers détails :
- Blake fonce sur le « Horten » avec son « GR » pour le percuter. Pour cela il allume son radar. Or, pas besoin de radar, puisque Blake peut le voir à l'oeil nu !
Un radar est fait pour détecter ce qu'on ne voit pas parce que trop loin... mais Sente n'a pas l'air de le savoir (Juillard non plus, qui dessine tout ça sans sourciller, et sans se poser la moindre question...)
- Blake décide de percuter le « Horten » pour l'abattre. Or le « GR » est un prototype. Donc, le « GR » étant détruit (volontairement), il n'y aura plus de prototype.
Bravo. Alors que nous ne sommes qu'au Printemps 1944 et que les Allemands peuvent continuer d'attaquer Londres autant qu'ils le peuvent. Combien faudra-t-il d'autres prototypes comme le « GR » pour détruire les avions allemands (et les V2) ???
Il valait mieux conserver le « GR » - l'attaque du « Horten » n'étant qu'une piqûre de moustique par rapport à tous les bombardements que Londres a pu subir et va encore subir
- Blake décide de percuter le « Horten » en fonçant vers lui en plongée. S'il le rate, le « GR » va aller percuter Londres, et peut-être le Parlement... que le « GR » est censé protéger…
Combien de morts provoqués par le crash du « GR » sur Londres...? Or, c'est justement ce que voulaient éviter les Autorités anglaises qui ont « décidé » d’envoyer le « GR »...
- Blake s'éjecte et son parachute s'accroche à l’on ne sait trop quoi au-dessus de la Tamise. Pas une égratignure ! Pourtant, pour s'accrocher comme ça, il a normalement dû heurter d'abord quelques pierres et, par un balancement involontaire, se frotter contre elles ou les percuter assez violemment.
- une vignette plus tard, Blake est debout, sain et sauf. Pas une égratignure. Rien ! Tenue impeccable, pas un pli, pas une déchirure. Chemise blanche et cravate. Et avec le béret qu'il avait sur le porte-avions, alors qu'il a volé avec un casque en cuir (le béret, forcément, devrait être resté sur le P-A, au vestiaire).
- on ne lui demande rien (il vient tout de même de perdre un prototype unique !!!) ; lui-même n'explique rien, ne rédige pas de rapport, et a positivement l'air de s'en moquer. Un peu comme s'il avait cassé son lacet. Il se relève comme une fleur et s’en va au War Office. On dirait un mannequin dans la vitrine d'un magasin de mode : il ne bouge pas, n'a aucune émotion (alors qu'il a failli mourir, entre autres émotions)… etc,etc…
Et toujours cette cabine de pilotage du « GR » qui n’a décidément rien à voir avec la réalité…
Quant à l’officier de Marine qui se permet de fumer la pipe (et quelle pipe… !) dans les couloirs du War Office… Je me marre, mais je suis peut-être le seul ?!
Et, juste pour le fun, un bref retour en arrière sur le décollage assisté de fusées... comme ce 1er vol d'un appareil avec fusées...
J'arrête, car là, on a dépassé l'inimaginable dans le scénario inconsistant et totalement illogique des deux « trompettistes de la mort ».Ce n'est même plus du grand n'importe quoi, c’est au-delà des mots, hélas !