Et après le retour du sergent Mac , la résurrection de Harris Debby et Jim Maurison?Thark a écrit :..../...
Alors, en mettant en scène ce qui semble être le "crash d'un Golden Rocket", comme le souligne Archibald, Sente et Juillard osent transgresser cette "règle" établie par l'Auteur originel... [*][/b]
Que peut-on en penser ?...[/color] wait & see... ...
[*][/b]... bien sûr, il y avait déjà la "réutilisation" du Sergent Malcolm Tearaway dans "Le serment... " (patronyme inventé de toute pièce par Mr Sente pour baptiser celui qui n'était que le "Sergent Mac" ), mais c'était vraiment un caméo anecdotique...[/color]
Le bâton de Plutarque - Ce que nous savons
Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
Tu oublies le fameux imbroglio autour du récit de Septimus dans La Marque jaune (citation ci-dessous extraite de ce sujet).Thark a écrit :Par quelques tours de passe-passe narratifs (et quelques rares allusions faites uniquement par le biais des textes), EPJ a créé une sorte de flou artistique qui lui permettait de se débarrasser des risques d'incohérence et des contradictions historiques.
Erca a écrit :- Dans la Marque Jaune, la contradiction chronologique de la narration de Septimus, qui évoque (planche 51, vignette A2) une guerre qui éclate alors qu'il revient d'Égypte, a beaucoup fait gloser.
L'allusion à la Luftwaffe ne laisse guère de doute sur le fait que Jacobs a d'abord songé à la Deuxième Guerre Mondiale, avant qu'on ne lui fasse remarquer l'incohérence. Il a cru bon de remédier à cela en faisant ajouter, très tardivement (sur la dernière édition), une note de bas de page indiquant : « Il s'agit de la 3ème Guerre Mondiale. Voir Le Secret de l'Espadon ».
Si cette précision a le mérite d'expliciter le fait que la guerre de l'Espadon suivait bien la Deuxième Guerre Mondiale dans l'esprit de Jacobs, elle laisse néanmoins le problème chronologique intact.
Tu as tout à fait raison sur ce point-là.Thark a écrit :Hormis les personnages principaux, il n'a même pas réutilisé par la suite une seule des créations graphiques imaginées spécialement pour Le secret de L'Espadon... Les engins et outils technologiques qui animent cette prodigieuse saga guerrière semblent n'appartenir qu'à cette seule histoire, hors du temps, comme oubliés dans une autre dimension...
Certes, mais la transgression a été effectuée depuis belle lurette et dans les grandes largeurs avec L’Étrange Rendez-Vous. De façon beaucoup plus anecdotique, on peut également observer une maquette de l'Espadon dans La Machination Voronov.Thark a écrit :Alors, en mettant en scène ce qui semble être le "crash d'un Golden Rocket", comme le souligne Archibald, Sente et Juillard osent transgresser cette "règle" établie par l'Auteur originel... [*][/b]
Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
Nein, mon cher Herr "K" ^^, je n'ai évidemment pas zappé cet élément de flash-back un peu chaotique , et c'est bien la raison pour laquelle j'ai dit :Erca a écrit :Tu oublies le fameux imbroglio autour du récit de Septimus dans La Marque jaune
Mais je me doutais bien que tu y ferais allusion... Les procédés "acrobatiques" de Jacobs, tu les as finement analysés ; c'est vrai qu'il n'est pas toujours parvenu à éviter les confusions et autres maladresses. (mais on sait dans quel contexte d'urgence - et sortant de l'Heroïc-Fantasy bariolée et délirante du Rayon U - il a dû démarrer ce feuilleton exotique que fut l'Espadon...Thark a écrit :.../... il s'est ingénié (de façon parfois acrobatique mais savoureuse) à réintégrer petit à petit les scénarii suivants dans la "vraie réalité" de son temps ! ^^
Tout aussi acrobatique : le parti-pris audacieux (ou nanaresque ?) de Van Hamme, qui use et abuse du voyage temporel pour redonner vie aux méchants Jaunes du Secret de l'Espadon, et par là-même, se faire plaisir... Tout l'arsenal scientifico-einsteino-physico-quantique déployé dans l'E.R-V ne sert qu'à justifier et à "Jacobsiser" (à grands coups de second degré et de références Fifties) une espèce d'hommage virtuose, situé à mi-chemin entre le fan-service et la parodie... L'argument scénaristique malicieusement concocté par JVH est tellement "hénaurme" (mais néanmoins savoureux) que je ne sais pas si on peut vraiment parler de "transgression" dans le cas précis de l'Etrange Rendez-Vous...
Mais voici que s'annonce ce "Bâton de Plutarque", avec lequel les enjeux me semblent encore plus ambitieux et compliqués pour Yves Sente...
En effet, Sente a une démarche un peu différente. Il semble extraordinairement soucieux d'incorporer entre eux des éléments très délicats à manier (ce qui provoque d'ailleurs des tas de débats passionnés entre fans ).
Il aime s'appuyer sur des créations jacobsiennes pur jus (issues de l'imaginaire ou des recherches documentaires d'EPJ : personnages pittoresques, mythologies diverses, extrapolations scientifiques et temporelles, suspense hitchcockien, références à l'Histoire ou à l'actualité de son temps), tout en les prolongeant et les enrichissant (sic) avec ses propres préoccupations contemporaines, ses pulsions romanesques (voire romantiques), ses trouvailles historiques...
Et on a déjà constaté à quel point André Juillard et lui adorent confronter tout ça à des faits, des lieux et des personnages "historiquement réels".
Jusque-là, la maquette de l'Espadon dans la très sophistiquée Machination Voronov n'était pour moi qu'un simple clin d'oeil, ni plus ni moins...
... Désormais, on peut sans doute considérer que cela indiquait d'emblée l'attachement d'Yves Sente et André Juillard à l'ensemble du corpus jacobsien, quel que soit son degré d'ancrage dans la "réalité" du 20ème siècle...
On peut même considérer que c'était une sorte de signe avant-coureur de futurs défis scénaristiques, tels que celui qu'ils ont décidé de relever avec ce nouvel album !
Pour moi, Le serment des 5 lords - qui se voulait particulièrement réaliste - était plutôt raté, fade et ennuyeux. Ca ne "décolle" jamais...
J'ai forcément du mal à être vraiment optimiste en ce qui concerne la nouvelle... euh... "audace" de ce duo d'auteurs...
Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
archibald a écrit :Et après le retour du sergent Mac , la résurrection de Harris Debby et Jim Maurison?Thark a écrit :..../...[*][/b]... bien sûr, il y avait déjà la "réutilisation" du Sergent Malcolm Tearaway dans "Le serment... " (patronyme inventé de toute pièce par Mr Sente pour baptiser celui qui n'était que le "Sergent Mac" ), mais c'était vraiment un caméo anecdotique...[/color]
Bien trouvé, Archie ! Et amusant, ton p'tit montage !
Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
No comment ! Car considérer que Sente est attaché à autre chose qu'à développer SON univers post-Jacobs, en écornant régulièrement le Corpus, chaque fois de plus en plus médiocrement, me semble relever de la douce utopie...Thark a écrit : ... Désormais, on peut sans doute considérer que cela indiquait d'emblée l'attachement d'Yves Sente et André Juillard à l'ensemble du corpus jacobsien, quel que soit son degré d'ancrage dans la "réalité" du 20ème siècle...
Rien que de simplement penser à ressortir le GR et, pourquoi pas, l'Aile volante et l'Espadon, dans un conflit pré-espadonique me laisse sardonique à souhait
Et ce "bâton de Plutarque" risque bien, comme ses devanciers (pas les bâtons, hein...?!), de devenir un simple "bâton du plus tarte !!!!!" sans queue ni tête
Mais, je m'avance, là, je m'avance, bien sûr, car nous savons tous que cet album sera excellent, sans aucune erreur ni faute de goût...
Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
Néanmoins, voyons les choses en face, old chap : Yves Sente "malaxe" (ou malmène ?) le corpus jacobsien... Quelque part, j'ai envie de dire... : forcément ! Comment pourrait-il en être autrement ?!
Qu'on apprécie ou non le résultat, on doit quand même admettre qu'un repreneur digne de ce nom, quel qu'il soit, se doit de développer aussi son propre univers (cf Franquin pour Spirou), faute de quoi il ne serait qu'un faiseur de pastiches ou de "plagiats officiels" ! Des sous-produits, des copies au rabais, sans aucun intérêt...
Il faut obligatoirement jouer sa propre partition, sinon à quoi bon ?!
Mais je répète que, pour moi, et ce surtout depuis quelques albums - "Le Serment" en tête -, la sauce ne prend pas et je vais de déception en déception (en dépit de quelques séquences qui sortent du lot).
Sincèrement, je leur souhaite vraiment de réussir quelque chose de costaud et de passionnant, cette fois. Mais tout comme toi, je suis sceptique...
Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
Je suis comme toi , j'attends une bonne histoire avant tout , même si des libertés sont prises...Thark a écrit :.../...
Sincèrement, je leur souhaite vraiment de réussir quelque chose de costaud et de passionnant, cette fois. Mais tout comme toi, je suis sceptique...
Mais comment ne pas être sceptique en voyant ce Crash qui se déroule à si basse altitude et qui n'aurait laissé que peu de dégâts et un pilote indemne ?
Quand on voit les crashs aériens de Sato Vous me direz ( peut être) qu'Olrik s'en sort bien , lui même !
Bref le pilote du Golden Rocket avait rendez-vous avec le Major Benson et le capitaine( pas encore colonel) Blake à King Charles street pour visiter le Churchill War Rooms .
Il était à la bourre et il s'est fait intercepter par la patrouille !
Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
Yep, je n'ai repris, sciemment, qu'une seule remarque de ton superbe exposé, comme à ton habitudeThark a écrit :Hep, amigo Kronos, tu ne cites qu'une phrase... alors que j'ai détaillé dans mon laïus quelques éléments qui me semblent résumer les principales "marques de fabrique" d'Yves Sente... ... Et j'en conclus aussi, clairement, que j'ai vraiment "du mal à être optimiste" sur ce qui va être produit par ce duo d'auteurs...
Néanmoins, voyons les choses en face, old chap : Yves Sente "malaxe" (ou malmène ?) le corpus jacobsien... Quelque part, j'ai envie de dire... : forcément ! Comment pourrait-il en être autrement ?!
Qu'on apprécie ou non le résultat, on doit quand même admettre qu'un repreneur digne de ce nom, quel qu'il soit, se doit de développer aussi son propre univers (cf Franquin pour Spirou), faute de quoi il ne serait qu'un faiseur de pastiches ou de "plagiats officiels" ! Des sous-produits, des copies au rabais, sans aucun intérêt...
Il faut obligatoirement jouer sa propre partition, sinon à quoi bon ?!
Mais je répète que, pour moi, et ce surtout depuis quelques albums - "Le Serment" en tête -, la sauce ne prend pas et je vais de déception en déception (en dépit de quelques séquences qui sortent du lot).
Sincèrement, je leur souhaite vraiment de réussir quelque chose de costaud et de passionnant, cette fois. Mais tout comme toi, je suis sceptique...
Mais, comme c'est trop long à analyser en détail à chaque fois, je me permets donc d'édulcorer un max
Quant à vouloir "=imprimer sa marque", lorsque tru cites Franquin, il n'a finalement apporté, "de neuf", que le génialissime Marsu, sans déboulonné à tout va ce qui avait été produit avant lui, que je sache !
On peut effectivement innover, intelligemment, s'entend, mais certes pas amener des "théories" aussi fumeuses qu'imbéciles
L'hypothèse du transfert de l'esprit hors de l'enveloppe corporelle était osée et bien venue, de même que la réintégration ratée... même si on peut raisonnablement se poser la question d'une réelle emprise physique sur les objets environnants à cet état ?
La suite, par exemple...?????????
JVH a su assez habilement explorer de nouvelles voies (même si Basam était une erreur...), tandis que Sente, depuis le Gondwana, s'embourbe dans un galimatias de fantaisies totalement absurdes qui n'amènent au final rien de nouveau au Corpus, bien au contraire
Rien qu'à lire ou relire l'hérésie développée dans le Serment au sujet du passage de Blake jeune au MI5, je reste sidéré de tant de ... (je n'arrive même plus à trouver de mots pour qualifier cette suite d'absurdités) ; et cela risque de continuer avec le retour du bâton du plus tarte...
Nous risquons donc bien de tomber de Charybde en Scylla, ouh la la !!!
Je suis très critique, oui, je sais, mais le lascar nous adéjà montré ce qu'il (ne) vaut (pas)
Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
Arf arf ! tu plaisantes, là, amigo ?!... D'une part, Franquin n'avait rien à déboulonner ^^, car sincèrement, avant lui, l'univers de Spirou n'était pas très élaboré, c'est le moins qu'on puisse dire .Kronos a écrit :Quant à vouloir "=imprimer sa marque", lorsque tu cites Franquin, il n'a finalement apporté "de neuf" que le génialissime Marsu, sans déboulonner à tout va ce qui avait été produit avant lui, que je sache !
D'autre part, quant à ses apports, ses créations et le sang neuf qu'il a apporté en + du Marsu, eh bien replonge-toi dans ta collection, old chap :
Côté personnages ---> et le comte de Champignac, alors ? Et Zorglub (au sein de certaines des intrigues les plus fortes et les plus créatives de l'époque, élaborées avec Greg, cf "Z comme Zorglub" et "L'ombre du Z"... ? et Zantafio, le "cousin maléfique" ?... et Seccotine ??? (liste incomplète, j'en passe pour ne pas faire trop long... ).
- Et les fantastiques engins de SF et autres mécaniques géniales qui peuplent ses histoires ? Et la modernité (unique à l'époque) pour ce qui est des décors et du design (mobilier, architecture, etc... ).
- Et les savoureux contextes "géopolitiques" que Franquin a imaginés (avec l'aide précieuse de Greg, là encore) dans certains albums, parti-pris totalement absents chez Jijé et à plus forte raison chez Rob Vel ) ?!... Même une source aussi basique que Wikip' le dit (et pourtant, ça va pas chercher bien loin ) : "Le Prisonnier du Bouddha se passe en Chine continentale, avec des références voilées à la guerre froide. De même, QRN sur Bretzelburg prend place dans deux pays imaginaires rappelant l'Allemagne d'avant la réunification"...
Je pourrais multiplier les exemples. Alors franchement, si ça ce n'est pas "imprimer sa marque"...
Non mais, M'ENFIN ! (houba houba !)
Le problème, c'est que la perception de ce qu'est une "innovation intelligente" est très subjective...Kronos a écrit :On peut effectivement innover, intelligemment, s'entend, mais certes pas amener des "théories" aussi fumeuses qu'imbéciles. ... / ... Je suis très critique, oui, je sais, mais le lascar nous a déjà montré ce qu'il (ne) vaut (pas)
Il suffit de voir, y compris sur le Forum, comment certaines créations ou épisodes créés par Jacobs lui-même sont parfois critiqués sous prétexte qu'ils relèvent de la pure Science Fiction... ...
Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
J'avais oublié tous ces petits détails que tu as si bien ramené à ma vieille mémoire défaillante.
Très honnêtement, je ne me souvenais pas que Franquin avait "inventé" Champignac, Seccotine ou autres...?
Tu es sûr de ton fait ? Ne me force pas à replonger dans l'intégrale de la Série, please !
Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
Ah oui, oui, amigo, je suis sûr de chez sûr !Kronos a écrit :Très honnêtement, je ne me souvenais pas que Franquin avait "inventé" Champignac, Seccotine ou autres...?
Tu es sûr de ton fait ? Ne me force pas à replonger dans l'intégrale de la Série, please !
Bon, juste pour le plaisir, faisons un p'tit point chronologique :
Pendant la guerre, de l'été 1940 à mars 1941, le créateur de Spirou, Rob-Vel, est blessé et fait prisonnier. Pendant cette période, Jijé reprend Spirou et c'est lui qui créé... Fantasio (ben oui, quand même ^^) !
A son retour, en 1941, Rob-Vel reprend les aventures du p'tit groom, mais ça part en vrille ! (par exemple, il l'expédie dans l'espace et lui fait vivre des aventures qui sont quasiment de la "Fantasy" ... ["Spirou dans la stratosphère"]... ).
En 1943, Jijé récupère à nouveau Spirou ! Malgré un peu plus de cohérence, les aventures restent très loufoques (et très sympas !) mais Jijé n'apporte pas de vraies trouvailles durables ou même suffisamment marquantes.
Et là, ... TATATSSSSIIIIIIN ! ---> En 1946, Franquin hérite de Spirou et Fantasio, Ô joie ! ...
Très vite, il enrichit la galerie de décors et de personnages incontournables. En 1950, dans l'épisode "Il y a un sorcier à Champignac" - co-écrit avec le frêre de Jijé, Henri Gillain alias "Jean Darc" - , Franquin imagine et introduit le fameux Comte de Champignac, mais aussi des personnages inoubliables qui deviendront récurrents, comme le maire de Champignac-en-Cambrousse, l'adjoint Duplumier, etc... Sans parler de "la colère des Champignaciens contre les expériences du comte" qui sera dès le départ un élément capital, largement développé par la suite.
Et ce n'était qu'un début, les inventions se succèderont d'album en album (Zorglub et ses étonnantes technologies en tête)............, mais je ne vais pas faire le détail, ça prendrait 5 pages du forum !
Voilà, cher Kronos.
On peut donc maintenant en revenir au Bâton de Plutarque... et à la "marge de créativité" des repreneurs en général !
Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
La marge est réduite au minimum, mon très cher Tharquinou, pisky zont même pas le droit de sortir du cercle de l'année 1958 !!! Non mais alors, des fois, quoi ?!Thark a écrit :Et ce n'était qu'un début, les inventions se succèderont d'album en album (Zorglub et ses étonnantes technologies en tête)............, mais je ne vais pas faire le détail, ça prendrait 5 pages du forum !
Bon, ce que c'est d'abandonner une vieille Série 5 minutes !!! Y z'inventent plein de trucs que t'avais pas bien vus...!!!
Thark a écrit :Voilà, cher Kronos.
On peut donc maintenant en revenir au Bâton de Plutarque... et à la "marge de créativité" des repreneurs en général !
En-deça, comme l'année 1944 et quelques, à quelque secondes près, y peuvent, ouais, mais à leurs risques et périls
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Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
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Re: Le Bâton de Plutarque: le titre de l'album!
Allez, je vais jouer le jeu et tenter de faire preuve (une fois encore) d'un esprit ouvert et "bon public"... : même si l'idée de la "préquelle" ne me dit rien qui vaille, j'ai quand même envie de voir les planches et de pouvoir commencer à lire tout cela attentivement. (eh oui, malgré tout... on ne se refait pas ! ^^).
Au moins, ce plan d'ensemble avec un gros porte-n'avion, voilà qui est dépaysant pour la scène d'ouverture d'un Blake & Mortimer. (S'il s'agit du début, bien entendu !)...
ps : j'espère qu'en "vrai", les couleurs rosées des cartouches descriptifs seront moins... euh... roses !
Re:Le bâton de Plutarque - Ce que nous savons
J'espère également que les teints des personnages et la tenue de Blake jureront moins...Thark a écrit :ps : j'espère qu'en "vrai", les couleurs rosées des cartouches descriptifs seront moins... euh... roses !
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Re: Le bâton de Plutarque - Ce que nous savons
Re: Le bâton de Plutarque - Ce que nous savons
Parce que c'est plus assorti aux couleurs du Golden Rocket ...Léon DIDIER a écrit :pourquoi l'uniforme de blake est il bleu ? est ce buck danny ?
Il a trouvé son uniforme sur I béééé ... J'avais l'impression que les bottes ne collaient pas avec cette espèce d'uniforme de sortie , mais .... source http://www.secondeguerre.net/media/unif ... airuk.html
Re: Le bâton de Plutarque - Ce que nous savons
On peut d'ailleurs constater, à voir cette très belle et véridique illustration, combien le simili uniforme de pilote de superèblakie est une pure foutaise de foutage de gueule...archibald a écrit :Parce que c'est plus assorti aux couleurs du Golden Rocket ...Léon DIDIER a écrit :pourquoi l'uniforme de blake est il bleu ? est ce buck danny ?
Il a trouvé son uniforme sur I béééé ... J'avais l'impression que les bottes ne collaient pas avec cette espèce d'uniforme de sortie , mais .... source http://www.secondeguerre.net/media/unif ... airuk.html
Re: Le bâton de Plutarque - Ce que nous savons
Mais il va finir par y arriver, je le sens bien...
Il semblerait par ailleurs que l'armée britannique n'ait aucun véhicule pure british à mettre à disposition de ses officiers... C'est un peu dommage !